L’OM navigue à vue

Les salaires et autres dépenses du club ont explosé sous la présidence de Jean-Claude Dassier malgré un titre de champion de France et chaque été l’actionnaire est forcée d’investir de son argent pour maintenir le club à flot. Lassée de cette situation elle nomme en 2011 Vincent Labrune en tant que président avec un objectif simple, assainir les finances et rendre l’OM bankable. Cinq ans plus tard le club est rentré dans le rang sportivement et après une session 2015 déjà éprouvante pour les nerfs des supporters marseillais, le mercato estival de cette année suit les mêmes tendances que le précédent. Alors oui les consignes sont claires, il faut combler le déficit et rendre le club attractif financièrement pour un repreneur. Mais faut-il pour autant sacrifier l’aspect sportif comme cela semble être le cas actuellement?

Au bout de l’ennui

Les mauvaises langues parleront de pléonasme quand il s’agit de cyclisme, mais cette édition 2016 du Tour de France restera comme celle de l’ennui et de l’attente que quelque chose se passe. Entre faillite des leaders, frilosité des managers d’équipes et manque d’ambitions les raisons sont multiples pour expliquer le spectacle presque sans intérêt proposé tout au long de ces trois semaines de course concernant la lutte pour le classement général. Mais alors comment rendre de nouveau la course attrayante pour les amateurs de cyclisme?

Froome marche sur la concurrence

Ce Tour de France 2016 va s’achever en ce dimanche 24 Juillet avec la traditionnelle arrivée sur les Champs-Élysées. Après trois semaines de course c’est l’inévitable Christopher Froome qui devrait, sauf accident, s’adjuger la victoire finale pour la troisième fois de sa carrière. Et malgré une édition globalement décevante en terme de spectacle il s’est imposé comme le plus fort aussi bien en montagne qu’en contre-la-montre, se permettant même de gagner du temps sur le plat et en descente. Retour sur trois semaines de domination sans partage.

Le nouveau visage de la NBA

Une bonne intersaison tient en trois points, les adieux déchirants, les signatures de pointures et les gros échanges. La cuvée 2016 ouverte officiellement le 1er juillet nous a depuis longtemps offert ces trois ingrédients clés. Entre les joueurs en fin de contrat, les transferts d’envergure, et les signatures de contrats records, tout y est passé lors d’un grand chamboulement comme rarement(jamais?) vu.